Avec un titre aussi con fallait vraiment avoir envie d'y aller, et j'ai bien fait. Le réalisateur de "La Vague" (2009) s'attaque cette fois aux vampires et il le fait trés bien. Gros travail de montage et son, superbe photo et 4 actrices belles et sauvages qui le font bien (on aurait aimé en savoir plus sur les origines des 3 autres). De bonnes idées de scénario et de mise en scène. Dommage que l'intensité des 20 premières minutes ne soient pas maintenue tout au long du film. Les mecs de Télérama et Première ont encore fait leur fine bouche de bourgeois (1 étoile), et c'est tant mieux, le contraire aurait été inquiétant. Et toujours rien au pays de la poule au pot.
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mercredi 11 mai 2011
lundi 9 mai 2011
SPEEDKRITIK 465 "La meute" (2010) F. Richard
Attention c'est du lourd, un casting international: Y. Moreau (quelqu'un peut lui dire que "Les Dechiens" c'est fini), E. Dequenne (on s'en fout), B. Biolay (au moins il ne chante pas) et P. Nahon (fidèle au poste). Un scénario qui pour cacher les pompages du cinéma de genre en devient ridicule, des dialogues cons comme mes pieds (et ils sont cons mes pieds), des seconds rôles aux jeux d'acteurs dignent des pires casting AB production (les motards sont d'un ridicule qui ferait fuire n'importe quel producteur sensé), un monteur çà peut être utile aussi. Seul point +, les Creatures d'O. Alfonso sont reussies (comme d'habitude). SVP, arrêter le massacre les gars, car à force de faires des merdes de ce niveau ("La horde" 2009, "Mutants" 2009, "Frontières" 2007), on ne trouvera plus de thunes pour en produire d'autres (ou alors que pour blanchir de l'argent). Dommage que le dossier Méga bouse intergalactique n'existe pas. La bande annonce illustre bien le degré zéro du ce cinéma "à la française".
dimanche 8 mai 2011
SPEEDKRITIK 464 "The Stool Pigeon aka The Insider aka Sin Yan" (2010) D. Lam.
Une mise en scène en béton armé avec un des meilleurs rôle de N. Tse (méconnaissable)). Mais le problème est que pour se détacher du chef d'oeuvre "Infernal Affairs" (2003-pas la copie fade de Scorcess) d'A. Lau, le réalisateur nous balance du pathos en veux-tu en voilà pour enfoncer encore plus les protagonistes qui galèrent déjà com des chiens. Le terme "Film Noir" prend toute sa valeur avec celui-là. Ceci dit cela reste tout de même un film made in HK au-dessus du lot même si le polar Coréen reste le meilleur.
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