Pages

dimanche 18 août 2019

SPEEDKRITIK 1548 "Brightburn" (2019) D. Yarovesky




Très belle surprise que cette relecture d'un Superman maléfique. Un rythme soutenu, des effects gores simples et réussi, une mise en scène efficace, et un jeune acteur habité par son rôle. Cela fait du bien de retrouver le mythe du super-héros sans qu'il écoute son walkman, mache du chewing-gum ou disent des blagounnettes toutes les 10 mn. Un univers qui n'est pas sans rappeler le superbe comics "The Cape"(SK comics 8) que je vous conseille fortement. A voir.




SPEEDKRITIK 1547 "Isabelle" (2018) R. Heydon


Ben rien à dire de cette bouse horrifique si ce n'est qu'Isabelle n'a pas les yeux bleus. Re-poubelle direct... Mais alors direct. 


SPEEDKRITIK 1546 "Ablation" (2014) A. de Parscau



Tout se que l'on aime dans le cinéma français: Des acteurs perdus (voir mauvais) dans des dialogues sans consistances d'une histoire qui ne tient pas la route 2 secondes, des scènes qui n'apportent rien et non pas justification. Une mise en scène paresseuse qui n'ai pas aidé par un montage mou. Le seul intérêt de ce film est de savoir comment ils arrivent à sortir de l'argent pour produire cette merde. Poubelle directe.


SPEEDKRITIK 1545 "Hellboy" (2019) N. Marshall



En voyant la bande annonce, on se demande: "Mais pourquoi, ils refont un Hellboy?... Et une fois le film visionné, on se dit "Mais pourquoi ils ont refait un Hellboy. De la merde sans saveur avec des effects trés gores sur la fin pour rattraper la chianlie générale et une Mila sous-exploitée. Surprenant de la part du réal qui nous avait collé au mur avec son "The Descent (2005). Ils n'ont toujours pas compris que l'intérêt de Hellboy venait de la puissance graphique de son créateur, M. Mignola.



Comics