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samedi 31 août 2013

SPEEDKRITIK 890 "Bigfoot County" (2012) S. Stewart




Des réalisateurs en herbe veulent faire un documentaire sur la légende du Bigfoot et sont confrontés aux péquenots du coin. Donc cette fois le « found footage » s’attaque au mythe de « Délivrance » (1977) le chef)d’œuvre de J. Boorman (avec la scène du cochon en POV assez dure à voir). A ce rythme là on n’est pas prêt de voir disparaître ce genre. A quand celui sur la quête du chat de la mère Michelle. Plus que dispensable



SPEEDKRITIK 889 « Dark Skies » (2013) S. Stewart




Clairement avec ce film, les petits hommes verts (ou plutôt les ptits gris comme ils les appellent) ne sont pas nos amis… Mais alors pas du tout. Une version agressive de « Rencontre du 3ème type » (1977) de S. Spielberg, avec des effets subtiles qui nous entraînent doucement mais sûrement dans la paranoïa de cette famille victime d’ »ET » psychopates. Un bon moment (mieux réussi que son  "Priest " 2011).




dimanche 25 août 2013

SPEEDKRITIK 888 "Intruders" (2011) J.C. Fresnadillo




Le Cinéma de genre espagnol nous a donné de vraies pépites, avec des « boogieman » originaux « "Los cronocrimines" (2007) de N. Vigalondo-SK 104 et "la secte sans noms" (1999) de J. Balaguero. Mais il est aussi capable de films bien pompeux qui se la jouent « horreur poëtique », chiant comme la mort, avec en prime des effets 3D hideux. Même le ténébreux C. Owen ne peut pas sauver le navire. Que c’est-il passé ? Son «"Contacto" (2001) est une bombe dans le genre triller, et son "28 Weeks Later" (2007) est plus que réussi.



SPEEDKRITIK 887 « Plague Town » (2008) D. Gregore




Me suis encore fait avoir par une affiche étrange et une B.A. bien foutue (merci Mr le monteur; par contre une chose est sûr, ce n’est pas le même qui a monté le film). Une réalisation approximative, des effets gores ratés et un scénario attendu. En résumé, une merde. Par contre le personnage de la mariée maudite est une belle trouvaille.



SPEEDKRITIK 886 « A Night At The Roxbury »(1998) J. Fortenberry



Même dans les pires conneries W. Ferrel me fait rire, au pire sourire. Typiquement pour les fans de l’humour lourdingue « Saturday Night Live », pas vraiment ma came. En tous les cas, preuve est faite que les années 80 étaient vraiment pourraves et ceux qui les revendiques aussi.



SPEEDKRITIK 885 "Bucky Larson Born To Be A Star" (2011) T. Brady



Une histoire simplette au sujet racoleur avec des gens simplets. Se moquer des gens idiots ne me fait pas rire, la méchanceté non plus. A voir pour C. Ricci toujours aussi craquante.