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jeudi 23 juin 2016

SPEEDKRITIK 1234 "Cabine Fever" (2016) T. Zariwny.




Les mecs n'ont tellement plus d'idées qu'ils font des remakes de films nuls (celui de E. Roth-2002)... Encore plus nuls. Le pompom du ridicule est une fille qui se rase les jambes tranquille pendant que tout le monde se fait déboiter, juste pour la voir affoler quand sa peau se détache... Et on ne parlera pas du niveau zéro des acteurs



SEEPKRITIK 1333 "Pandemic" (2016) J. Suits.




Encore un film de zombies, mais plus rentre dedans, plus violent, plus bordélique: surtout à cause de la mise en scéne qui privilégie le FPS. On oublie l'intime pour laisser place au bourrinage. C'est efficace dans un autre genre, mais on ne s'accroche à rien et on se lasse vite. A voir pour l'energie de certaines scènes.



lundi 20 juin 2016

SPEEDKRITIK 1332 "Sorgenfri aka What we become" (2015) B. Mikkelsen.




On est vraiment à la ramasse, même les Danois nous défonce avec le film de genre. Cette fois avec un film de zombies intimiste mais efficace. C'est loin d'être parfait (on retrouve tous les clichés du genre) mais franchement pour un 1er film, respect (l'intro vous colle au siège). Des acteurs impliqués, une musique à la Carpenter, un bon montage. Attention la B.A spoile.




SPEEDKRITIK 1331 "Eddie The Eagle" (2016) D. Fletcher.




Rien à voir avec un biopic sur un membre du groupe... Une histoire vraie incroyable traité en mode guimauve (des raccourcis de scénario trop faciles); pour preuve, personne ne se rappelle du double champion de la discipline le plus jeune de l'histoire. Mais le personnage est touchant (belle performance de T. Egerton), une real classique et soignée (gros travail de direction artistique) avec un final qui vous fait monter les larmes (en ouvrant la bouche). Du cinéma tout public de qualité.



SPEEDKRITIK 1330 "The Other Side of the Door" J. Roberts.




Le coup classique du real talentueux (son "Storage 24" 2012 était bien foutu avec des clopinettes-SK901) qui s'exporte aux U.S et nous pond une merde. Donc rien de neuf avec une histoire de fantôme in Mumbai, portée par 2 starlettes de série télé. Des "crac", des "hou", des pigeons (indiens) qui s'envolent. Le seul moment intense est la mort de l'enfant, mais c'est toujours dur de vivre un truc pareil.