Pages

vendredi 8 janvier 2016

SPEEDKRITIK 1276 "Creed" (2015) R. Coogler.


Cela sent la pompe à fric et franchement j'y allais à reculons mais je dois avouer que l'on retrouve l'ambiance du premier Rocky (1976) de J. G. Avildsen avec un S. Stallone qui assume son âge et son passé( il reprend le rôle de Mickey- la boucle est bouclée). Mis à part la B.O R&B gonflante, le real nous pond un vrai hommage aux 2 premiers films de la série (tres belle photo) avec une revisite de scènes emblématiques (les poulets, le footing du matin...). Les fans seront contents, manque juste le cri de fin... Adriennnnnnnne.



jeudi 7 janvier 2016

SPEEDKRITIK 1275 "Love" (2015) G. Noé.




Un film étrange entre fascination et "j'me fais chier grave". Respect pour les 2 acteurs qui s'offrent littéralement aux spectateurs. Com pour "Irréversible", le réal reprend sa narration à rebours mais cette fois pour une histoire d'amour. Il sait filmé, mais son point de vu sur l'amour n'est pas le mien, et ceux qui ont l'alcool triste et les descentes de drogue aggressives me gonflent. Et je n'ai pas compris les cut au noir au milieudes scènes. A voir tout de même car y'en a pas beaucoup de réal français qui prennent des risques aussi couillus.



SPEEDKRITIK 1274 "Un illustre Inconnu" (2014) M. Delaporte.




Ben voila du cinoche français qui donne envie. Un scénar surprenant (si on accepte le postulat de départ- le héros est un maitre du maquiilage) porté par un Kasso intense, une realisation classique mais superbe (belle photo, cadres chiadés) avec un montage au couteaux qui renforce une narration maitrisée. C'est largement au dessus du lot de ce qui se fait en France depuis 10 ans, mais seulement 100 000 entrées... On a le cinéma que l'on mérite.



mercredi 6 janvier 2016

SPEEDKRITIK 1273 "Un Français" (2015) Diastème.




Un film qui a reçu des sauts de vomi, ou non distribué pour ne pas choquer ou attiser la haine. Les critiques qui ont pignon sur rue se branlent avec des critiques de mes deux. Ce n'est qu'un film frontal d'une France qui existe, filmé à l'épaule avec un sentiment d'urgence qui nous colle comme le perso qui cherche la rédemption. A. Lenoir est incroyable (com quoi on est bon quand on est bien dirigé-cf "Antigang"). Donc un film français qui loin d'être parfait prend des risques, le "Made In Britain" (A. Clarke-1982) frenchy toutes proportions gardées.



lundi 4 janvier 2016

SPEEDKRITIK 1272 "Anti Gang"(2015) B. Rocher.




Et voici tout le contraire, le ciné frenchy qui pue. Des acteurs qui jouent mal avec des dialogues niveau cours de récré 6éme, chapoté par un J. Réno plus fatigué que le père Noël après le 25 Décembre. Une mise en scène (sans point de vue) qui se la pète pour rien avec des scénes d'actions qui ressemblent à des répètes de cascadeurs. Ce qui est rassurant en France, c'est que même si tu es mauvais (déjà responsable des navets "La Horde"-2009-SK187, "Gaol of the Dead"-2014-SK1041); ben on te redonne des sous pour un faire d'autres.



SPEEDKRITIK 1271 "Les Galettes de Pont Aven" (1975) J. Seria.



On commence l'année avec un cycle Frenchy. Avec une valeur sure de part ces acteurs (ils sont tous excellents) et son sujet. Du cinéma français disparu, une façon de voir la vie oubliée. Un témoignage sur la France Giscardienne coincée du cul et en pantoufles.