SPEEDKRITIK 973 "2 guns" (2013) B. Kormàkur

Un polar classique bien musclé avec D. Washington qui fait du D. Washington et M. Wahlberg qui fait du M. Wahlberg. La surprise vient de B. Paxton surprenant en bery bad guy. C'est propre, on passe un bon moment. Vite vu, vite oublié.

SPEEDKRITIK 972 "The East" (2013) Z. Batmanglij

Un film dans l'air du temps qui pose le "problème" de l'activisme contre les systèmes. Y'a ceux qui choisissent la voie de Ghandi, et y'a les autres (je préfère ceux-là). Le message est clair, et c'est franchement bien foutu pour un 2ème film (belle photo, bon montage, bon casting). Réalisateur à suivre.

SPEEDKRITIK 971 "Enemies Closer" P. Hyams

C'est dur de voir ce qu'est obligé de faire mister Hyams (quand même "Outland"-1981. Respect) pour continuer de tourner. Poutant le duo nous avait offert de bonnes séries B avec "Time Cop" (1994) et "Mort Subite" (1995). Mais là on touche le fond. Une mise en scène du pauvre, les scénes de baston ressemblent à des répetitions de cascadeurs dans un décor en carton pâte. Et surtout un JCVD complmétement à côté de la plaque (ou alors il a replongé dans la drogue) en espèce de tueur sans pitié végétalien protecteur de la nature. Sans oublier sa coupe de cheveux incroyable. Du grand JCVD en roue libre.

SPEEDKRITIK 970 "Elysium" (2013) N. Blomkamp

Après la claque de "District 9" (2009-SK 107), je l'entendait celui-là... Ok, le réalisateur est bon pour filmer des ambiances post-apocalypse-punk, techniquement c'est parfait, pas franchement un mauvais film, mais on s'en fout. Tout est prévisible et bizarement la mayonnaise ne prend. Me suis fait chier.
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SPEEDKRITIK 969 "Rush" (2013) R. Howard

Suis pas un grand fan de ce monsieur, même si ses films sont toujours propres et ressemble au monde des télétubbies. Mais je dois avouer que celui-là m'a prit aux tripes, surtout par l'histoire incroyable de ces 2 hommes (D. Brül est incroyable en N. Lauda), une superbe photo polaroïd, gros boulot de direction artistique, des plans étonnants appuyés par un son incroyable (dommage que H. Zimmer est encore frappé avec sa musique omniprésente, cela aurait été encore plus fort). c'est toujours étonnant de voir un film parler d'un évênement que l'on a vu en direct qu'en on était môme. Du grand spectacle.
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SPEEDKRITIK 968 "Riddick" (2013) D. Twohy

Ben va falloir qu'il arrête avec cette franchise, cela devient de plus en plus ridicule. Pourtant c'etait bien tenter de retourner aux sources (avec le même pitch que le premier), mais pourquoi faire le même film en moins bien. Les fx, incrustes et la 3D sont horribles. La premiere demi-heure est une espèce de "Tintin et Milou" sur Mars, avec des blagues à 2 balles et un chien complètement raté. Pathétique.
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SPEEDKRITIK 967 "Malavita" (2013) L. Besson

Allez, apres ces petist bijoux, on revient à de la bonne merdasse française qui pue et prend les spectateurs pour des cons. Même avec un casting en béton armé, il n'est pas capable de faire un bon film. Une histoire complétement naze, des situations pas crédibles (pour trouver un mec qui parle anglais dans mon village, tu peux te brosser),que des plans moyens, des décors à pleurer tellement c'est moche. Je ne vous parle même pas de la scène barbecue, tellement c'est ridicule. La seule scène à sauver est lorsque De Niro parle du film "Les Affranchis" de Scorcesse.  Franchement il aurait du tenir parole et arrêter de faire des films. Avec un truc pareil, va falloir penser à une rubrique méga-bouse!

SPEEDKRITIK 966 "Citadel" (2012) C. Foy

Encore un petit budget (voir riquiqui) qui nous vient cette fois d'Angleterre. Un peu lent mais on s'en que le réalisateur a mis ces tripes en jeu pour nous offrir le meilleur. C'est malsain, anxiogène trés bien joué (l'acteur principal est parfait). Et franchement la banlieue anglaise peut vraiment être flippante.

SPEEDKRITIK 965 "Open Grave" (2013) G. Lopez-Gallego

Ce réalisateur Espagnol nous en avait déjà fait une grosse surprise avec son survival "El Rey de la Montana" (2007-SK10). Il nous refait le coup avec cette fois une production U.S en revisitant (de façon intelligente) le thème du Zombie (plus proche de "28 jours plus tard" que de "La nuit des mort-vivants"). Malgré le petit budget, il s'en sort trés bien avec une belle photo, bon boulot sur le son et un trés bon montage (et un dernier plan qui tue). On tourne un peu en rond et la voix off est souvent pénible (on a pas besoin de tout nous expliquer pour comprendre) mais cela reste du bon niveau et efficace pour un petit film sans prétention.

SPEEDKRITIK 964 "A Place Beyond The Pines" (2012) D. Cianfrance

Deuxième claque venue des U.S à la suite, c'est rare. Encore un film qui vous chope par les corones si vous êtes atteind de paternité. C'est frontal, sans chichi et superbement filmé (et monté). R. Gosling nous refait le coup de "Drive" (2011-SK542) et remet tout le monde à l'heure aprés la nazerie "Only God forgive" (2013-SK921) par sa puissance de jeu (du coup tous les autres même s'ils sont trés bons paraissent comme des nains). Encore un gros casting pour un film "intimiste". Superbe bande son et 140 mn facile
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SPEEDKRITIK 963 "Prisoners" (2013) D. Villeneuve

Tout comme le film on va aller droit au but. GROSSE CLAQUE. Un sujet fort qui vous touche au plus profond si vous êtes parent. Ce qui ne remet pas en cause les qualités énormes du film : à la fois subtile et puissant dans la forme (la photo, le montage, la musique) et le fond (seriez vous prêt à tout...). Un casting de stars qui acceptent la règle du jeu du film indépendant. Encore une fois J. Gyllenhaal bouffe l'écran, malgré un H. Jackman surprenant et un P. Dano inquiétant. La B.A se la joue "triller" à fond , alors que ce n'est pas le propos. Les 150 mn passent comme une lettre à la poste.
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SPEEDKRITIK 962 "Faites Sauter La Banque" (1964) J. Giraud.

Une comédie franchouillarde tourné en studio (on se croirait "Au théatre ce soir"). Pas vraiment nul, pas vraiment drôle. L. de Funes prend ses marques de ce qui fera son copyright pour les années à venir. Le visonnage à plus une valeur historique (tous les seconds rôles et cette France austère) que filmique.

SPEEDKRITIK 961 "Help!" (1965) R. Lester

Même pour un fan inconditionnel des Beatles, le visionnage de ce foutage de gueule est une torture. Des rushes mis bout à bout pour tenter de raconter une histoire avec les 4 incapables d'aligner 2 mots compréhensibles et de jouer la comédie. Du n'importnawaq sous L.S.D. Mis à part les moments chantés, c'est complètement nul.