SPEEDKRITIK 1957 "Kurak Günler aka Burning Days" (2022) E. Alper

Imaginez les moments étranges de D. Lynch transposés dans le réel. Un film qui de par sa forme de thriller puant et malaisant qui vous colle à la peau, devient militant par son fond en abordant la politique, la société et la dérive de la Turquie. Tous les acteurs sont incroyables et justes (spéciale dédicace à E. Babaoglu qui transpire la malhonnêteté). Une mise en scène avec du sens (choses rare de nos jours) avec une photo superbe et un montage original... Donc une bombe. Tamam!

 

SPEEDKRITIK 1956 "Les Survivants" (2023) G. Renusson

 

Très bonne surprise ce survival intimiste sur fond d'actualité. Rien à voir avec un western... Un duo d'acteurs parfait et juste avec une mise en scène qui laisse la place aux personnages; à leurs doutes, leurs choix, leur histoires dans un décors hostile. Premier film dans des conditions extrêmes réussi, donc réalisateur à suivre.

SPEEDKRITIK 1955 "Indiana Jones et le cadran de la destinée" (2023) J. Mangold

Un film d'un autre temps, parfait pour les nostalgiques  des film d'actions hollywoodiens des 80'. L'intro avec Harrison Ford plus jeune est troublante. Tout comme le sujet du film, on a remonté le temps. Un film synthèse de tous les Indy. Pour le reste rien de nouveau , c'est sympathique sans plus, avec un bémol pour la fin trop SF par rapport à la licence. Le monde a changé pas Indiana. Mieux que le 3 et largement au-dessus du 4.