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samedi 23 janvier 2021
SPEEDKRITIK 1774 "Savage" (2018) Siwei Cui
SPEEDKRITIK 1773 "Judy & Punch" (2019) M. Foulkes
Une comédie à l'humour trés noir dans une reconstitution bien crassepouette du Moyen Age pour aborder un problème tres actuel. La maltraitance des femmes. A la fois frais et triste. M. Wasikowska est superbe, D. Herriman surprenant. Dommage que certain plans large montre le manque de budget et surtout une bande son avec des musiques hors sujet comme "Lady Hawk" (1985) de R. Donner et "Chevalier" (2001) de B Helgeland qui vous fond sortir de l'histoire. Encore un premier film pour une réalisatrice qu'il faudra suivre.
jeudi 21 janvier 2021
SPEEDKRITIK 1772 "Promising Young woman" (2020) E. Fennell
Belle la Claquette que l'on n'avait pas vu venir. Premier film glamour-trash avec une C. Mulligan qui bouffe tout le monde. Malgré un petit coup de mou au milieu de l'histoire, c'est du lourd, c'est sans pitié. Les hommes en prennent plein la tronche, mais en même temps on mérite. Premier film pour cette réalisatrice qu'il va falloir suivre. La bande Annonce aussi est une bombe.
dimanche 17 janvier 2021
SPEEDKRITIK 1771 "Qu'un Sang Impur..." (2020) A. Raouf Dafri
Trés belle affiche (et musique sympa) pour un polar historique qui nous refait le coup de "Apocalypse Now" du pauvre tournée dans "la mer des sables". Les dialogues qui ressemblent à une dissertation de 3ème sur les horreurs de la guerre d'Algérie, sont balancés par des acteurs qui n'ont pas l'air d'y croire ou ils s'enmerdent. Seul P. Lottin avec son tattoo sur le visage en mercenaire badasse s'en sort avec les honneurs. Y'a tout ce que l'on aime dans la bouse française: real ringarde, et qui se la pète, dialogues bidons, acteurs qui surjouent.
SPEEDKRITIK 1770 "La Daronne" (2020) JP. Salomé
SPEEDKRITIK 1769 "Erotissimo" (1969) G.Pires
Pour ce jour particulier, une SK de films qui n'existe plus. Entre Génie et film de vacances, bombe et naserie. Plus de 50 ans et tellement d'actualité.... Ils sont tous là pour un délire témoin d'une époque folle. G. Pires, un réalisateur (qui est devenu ce qu'il condamne dans ce film) détruit par L. Besson (tout comme G. Krawczyk). "Taxi" m'a tué.