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samedi 9 mai 2015

SPEEDKRITIK 1170 " Saint Laurent" (2014) B. Bonello.




Une tranche de vie de10 ans de Mr Y.S.L. La direction artistique est superbe et l'acteur surprenant…Pour le reste me suis ennuyé ferme. On apprend que pour survivre à son génie, il faut se défoncer et/ou se faire défoncer. Pas forcement la partie la plus intéressante de l'homme, mais peut être la plus vendeuse pour monter un 2ème film. Faut que je me mate l'autre film pour comparer.



SPEEDKRITIK 1169 "Themroc" (1973) C. Faraldo.



Voyage à l'étranger oblige, un petit cycle de cinéma français. On commence avec un film libertaire qui dénonce de façon naive le "métro/boulot/dodo" d'un ouvrier français. La version 70' de "La Guerre du Feu"; aucun dialogue que des grognements. Mal filmé, mal monté, mal joué, le seul intêret et de retrouver toute l'équipe du Café de la gare.Un cinéma français d'un autre temps, mais au moins à l'époque on avait pas peur de produire de tel OVNI.


SPEEDKRITIK 1168 "Tammy" (2014) B. Falcone.




M. McCarthy m'éclate, elle bouffe l'écran, d'ailleurs elle bouffe tout le monde; son énergie suffit à tenir un film. Même si ce dernier est gentil et que S. Sarando nous refait le coup de "Thelma & Louise" version mamie. Le braquage du fast food reste le meilleur moment avec une McCarthy en plein délire.
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vendredi 8 mai 2015

SPEEDKRITIK 1167 "Forever the moment" (2008) Soonnrye Yim.




Bon ok, les actrices ne sont pas des handballeuses pro. Ok c'est parfois un peu larmoyant. Mais ce film plaira à tous les sportifs de haut niveau amateurs de sports co qui ont donné leur temps juste pour vivre des moments forts (pour les autres aussi d'ailleurs, belle leçon de vie).Rien n'est plus fort que le sport vécu de l'intérieur. L'histoire vraie du petit poucet qui affronte l'ogre est vraiment touchante, et vous serre la gorge. En tous les cas moi je l'ai pris en pleine face. Un trés bon film pour toute la famille.



jeudi 7 mai 2015

SPEEDKRITIK 1166 "The Dead Lands" (2014) T. Fraser.




Honnêtement au début on se dit: "qu'est ce que sait que ce truc avec avec des acteurs qui surjouent en tirant la langue et n'arrêtent pas de gueuler en roulant des yeux?". Et une fois que l'on a compris que c'est pour délimiter leur territoire qu'ils s'exprimaient ainsi, tout prend du sens(surtout le haka des All Black). Une plongée sauvage, brutale chez les ancêtres Maori qui ne vous laisse pas indifférent… Et je ne verrai plus jamais une raquette de Jokari de la même façon. Une belle claque.



SPEEDKRITIK 1165 "The Signal" (2014) W. Eubank.




Ben là respect; parce que sortir un film de SF sans thune, qui vous tient en haleine (l'ambiance claustro est palpable) et d'une telle qualité (trés belle réalisation), moi je dis chapeau. L. Fishburne en maître de cérémonie est parfait, les Fx défoncent (les 20 dernières minutes sont splendides). Un petit film qui n'a l'air de rien mais qui vous reste dans la tête trés longtemps. Donc y'a l'école Noland avec wathmilliard de budget et y'a ce Réal à suivre.
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SPEEDKRITIK 1164 "Wyrmwood: Road of the Dead" (2014) K. Roache-Turner.




L'Australie ne sait toujours pas remis du choc "Mad Max". En voici la preuve avec une petite perle d'humour noir/trash/action. On sent le manque de moyen (mais tous les effets gores sont réussis), certains acteurs sont limites mais le tout est vraiment délirent, décomplexé et le Réal a vraiment voulu nous faire plaisir. Une chose est sùr, on ne nous ment pas sur la marchandise. L'affiche est exactement ce que vous allez voir.
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mercredi 6 mai 2015

SPEEDKRITIK 1163 "Kon Tiki" (2012) J. Ronning.




On revient à du vrai cinéma classique (photo, narration, montage), avec l'histoire vraie d'un scientifique complètement ouf qui décide dans les années 40 de rallier le Pérou à la Polynésie en radeau par les courants. Un bon film d'aventure à l'ancienne (avec des scènes incroyable tournées en live) à regarder en famille (pour que les gosses arrêtent de nous gonfler et qu'ils finnissent leur assiette). Une vrai leçon de vie. Contrairement au cinéma français, le cinéma Norvégien se porte trés bien, en voici encore la preuve.



SPEEDKRITIK 1162 "The pyramid" (2014) G. Levasseur.




Ben une production A. Aja, ressemble à ses films en tant que Réal. C'est sans saveur, ça pompe dans tous les sens et on s'en fout. Cette fois on mélange le film classique, avec du documentaire et le found footage. Du coup on ne sait pas ce qu'on regarde. Et encore des monstres en 3D qui gache le plaisir (comme quoi certains n'ont toujours pas compris la force d'un "Alien" ou d'un "Jaws")…Au moins A. Aja fait bosser ses potes, c'est sympa.



SPEEDKRITIK 1161 "Horns" (2013) A. Aja.




Nouveau film du surestimé réal français qui "réussit" aux states. Ok l'ambiance du début est un peu déroutante, et H. Potter ado s'en sort pas trop mal. Mais cela reste un produit sans saveur, une version "Twilight" versus anges & démons mixé avec "stand by me" (1988-n'est pas B. Reiner qui veut). Et les trucages 3D sont vraiment laids.



SPEEDKRITIK 1160 "Clown" (2014) J. Watts




Un film d'horreur à l'ancienne (la photo, les trucages) avec un méchant clown qui défonce des mômes (ce qui est assez rare). On passe de l'humour noir (le héros dépassé par les évènement est bien vu) à l'horreur pure. Sympathique, sans plus mais le film fait son job avec quelques scènes vraiment gores.
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mardi 5 mai 2015

SPEEDKRITIK 1159 "The Hobbit: The battle of the 5 Armies" (2014) P. Jackson.


Et revoila nos nains de jardin répartis pour une ultime aventure encore plus chiante que les 2 premières… Du blabla à en ne plus finir entrecoupé de scènes en full 3D sans âmes. Gandalf ne sert à rien, les humains ne servent à rien et la musique nous gonfle. Il était temps que cela se termine.




SPEEDKRITIK 1158 "Taken 3" (2014) O. Megaton.




Cela fait un moment que l'on sait qu'il ne faut pas faire chier L. Neeson. ben y'en a qui ne l'ont toujours pas compris, donc on leur explique avec une 3ème bouse. Et comme on a plus d'idées, On pompe sur "Le Fugitif" (1993) de A. Davis. La blagounette du bad guy qui se fight en slip kangourou est affligeante. Au moins ce réal est constant dans sa carrière de purges. Et bien sur toujours ce gout de chiottes pour la compil Besson.



SPEEDKRITIK 1157 "Extraterrestrial" (2014) C. Mihihan.




Un petit film avec des p'tits hommes gris trés agressifs…2 ou 3 moments surprenants qui ne suffisent pas à rendre le tout intéressant. malgré le plaisir de retrouver un M. Ironside en manque d'inspiration.



lundi 4 mai 2015

SPEEDKRITIK 1156 "American Sniper" (2014) C. Eastwood.




L'histoire d'un gros con qui se complait à faire des cartons sur cibles humaines. Un choix douteux pour un C. Eastwood en mal de succès (surtout àprés sa bouse "Jersey Boys), qui veut plaire à l'électorat de Bush. Un grand moment de cinéma avec la scéne intimiste entre le couple et un bébé en plastique. Le fond est hyper réac, la forme poussive et chiante. La même idée que "Démineurs" (2008) de K. Bigelow (versus la NRA) en plus gerbant. Et choisir l'icône du Punisher (le personnage le plus violent et réactionnaire de chez Marvel) comme emblème est tout un symbole.



SPEEDKRITIK 1155 "Backcountry" (2014) A. Mc Donald.




Un survival pépère, ou l'histoire vrai d'un scout qui se prend pour le roi de la nature et veux impressionner sa p'tite copine. On s'ennuie ferme jusqu'au 20 dernières minutes avec une attaque sauvage (vraiment impressionnante) d'un gros nounours pas en pluches, ni en 3D.



SPEEDKRITIK 1154 "The Atticus Institute" (2015) C. Sparling.




Un faux/vrai documentaire qui traite de façon originale la possession. Une narration efficace avec des effects tout en finesses (mais flippant) pour nous amener vers le chaos total. La direction artistique et le traitement sont parfaits (les interviews et les photos s'enchainent logiquement). Dommage que la dernière 1/2 heure parte en vrille-surtout quand on aborde le côté religion. A voir pour la performance incroyable de R. Kihlstedt, habité par son personnage (sans jeu de mots).



SPEEDKRITIK 1153 "71" (2015) Y. Demange.




J. O'Connell est de retour pour un film coup de poing. Un survival sur fond de conflit entre l'IRA et les militaires britanniques à Belfast en 1971. Les premiers ne sont pas des enfants de coeur, les seconds de vrais salopards. A retenir un ptit bonhomme qui sort encore de cette pépinière incroyable du cinéma anglais. C'est frontal, direct, efficace. Une direction artistique superbe qui nous plonge au coeur des 70'. Premier long pour ce réal qui nous avait déjà éclaté avec son "Dead Set" (2008), la série zombiesque qui enterre "The Walking Dead".