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samedi 5 janvier 2013

SPEEDKRITIK 764 "Sinister" (2012) S. Derrickson




Bon là c'est du lourd (surprenant de la part d'un réalisateur qui a pondu les bouses, "L'exorcisme d'Emily Rose"-2005 et "Le jour Où la Terre s'arrêta"- 2008). Superbe photo, bon montage (même si 2 ou 3 passages sont trop cut - allumage de caméra- et tuent la montée de l'angoisse), superbe boulot de sound design et  une bande son couillue. Les petit films Super 8 sont vraiments flippants et malsains. E. Hawks est touchant et nous fait partager son angoisse . Bon, je ne m'attendais à rien et je l'ai pris en pleine tête (peut être parce que le sujet vous touche plus quand vous êtes parents). Un des meilleurs films d'horreur de ces 10 dernieres années (et en plus c'est un pote qui l'a monté... La classe).


SPEEDKRITIK 763 " The possession" (2012) O. Bornedal




Un remake inavoué (même narration) de "L'exorciste" (1973) de W. Friedkin en plus soft. Pas de gros mots, pas de pipi et pas de croix (et pour cause cette fois le démon nous vient dune légende hébraïque et il est trés trés méchant). Donc rien de neuf, si ce n'est que les effets spéciaux sont efficaces et trés réussis (et un exorcisme fait par un rabbin c'est plus fun que ceux des curtons). Tout comme L. Blair, la jeune actrice est surprenante et porte le film sur ses épaules. Superbe affiche.





SPEEDKRITIK 762 "The Apparition" (2012) T. Lincoln




Vacances avec ma fille, donc cycle films d'horreur oblige. Une grosse daube qui ne vaut même pas la peine de perdre son temps à en parler. Même ma fille a trouvé ça nul (et elle adore la saga des "Twilight", c'est dire le niveau du truc). 1er film de ce réalisateur, on espère le dernier.




vendredi 4 janvier 2013

SPEEDKRITIK 761 "Poupoupidou" (2011) G. Hustache-Mathieu




Pour commencer l'année, une bonne grosse bousasse à la française comme j'aime; c'est tellement mauvais que cela en devient trop facile. Un scénario ringard et pompeux qui nous refait le coup de la vie de M. Monreo façon Charente-Poitou. Des acteurs tous aussi mauvais les uns que les autres (JP. Rouve est sous anti dépresseur). Une realisation digne des plus mauvais Derrick. Et la cerise sur le gâteau, une voix off (celle de la morte... N'importe quoi) qui nous explique ce que l'on voit et le pourqoui avec des dialogues dignent d'une cours de récré de CE2. Mais comment font-ils pour trouver des thunes pour de telles merdes.