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lundi 28 octobre 2013

SPEEDKRITIK 930 "The Lone Ranger" (2013) G. Verbinski




Ou les aventures de J. Sparrow au Far West. Bon, ben jamais 2 sans 3 . Un film à la gloire de J. Depp et de ses grimaces. On retiendra la grosse séquence de fin avec les 2 trains (peut être la prochaine nouvelle attraction des parcs Disney???). J'ai toujours pas compris ce que vient foutre la femme à la jambe d'ivoire? Son remake de "Ring" (2002) était pourtant réussi. La vraie surprise vient de W. Fichtner en Fucking Mr badass. Mon fils de 12 piges a encore aimé.



SPEEDKRITIK 929 "R.I.P.D." (2013) R. Schwentke




On enchaine avec une deuxième bouse intergalactique. Clairement avec la B.A on sait que l'on va voir un remake de "Men in Black" versus zombies, donc pourquoi pas... Donc effectivement, c'est la même histoire, mais c'est nul, les effectS numériques affreux, J. Bridges (dans le rôle de T. Lee Jones) est en roue libre et en fait des tonnes, R. Reynolds (dans le rôle de W. Smith) est aussi charismatique qu'une moule morte. Surprenant de la part du réalisateur qui nous a pondu la bombe "Tattoo" (2002) et le délirent "Red" 2010). Faut bien faire plaisir à son gosse de 12 ans...



dimanche 27 octobre 2013

SPEEDKRITIK 928 "Man of Steel" (2013) Z. Snyder




Ok, ce réalisateur est le roi du fond vert et il fait ce qu'il veut avec l'image. Ok, mr se tire la bourre avec Cameron et veut nous montrer que lui aussi aurait pu faire "Avatar". Mais on s'en fout dans le fond, en plus il nous saoule avec son interprétation ringarde (une D.A hideuse) et pompeuse (blablabla) de la chute de Krypton. Une narration explosée par un montage en feedback pour rendre originale une histoire connue de tous, du coup on n'est que sur de l'esbrouffe et on ne sent jamais ce que peut impliquer sur un individu la découverte de tels pouvoirs. R. Crow (toujours aussi soporifique) n'est là que pour faciliter les raccourcis du scénario. Et faut arrêter avec du H. Zimmer à fond les ballons pour illustrer la moindre minute de film, le silence c'est bien aussi. On aura compris que Superman est le fils d'un dieu, pas la peine d'insiter avec des positions Christiques du héros à vomir. Par contre le Superman est bien trouvé et c'est un vrai paisir de retrouver K. Costner. Pourtant j'y croyais, la B.A défonçait tout. Sans faire le geek nostalgique, mise à part le niveau des FX, ce dernier opus de l'homme de fer n'arrive pas à la cheville du "Superman" (1978) de R. Donner.