SPEEDKRITIK 797 "Paan Singh Tomar" (2010) Tigmanshu Dhulia

On finit la boucle avec l'Inde et son biotic sur un ancien champion devenu hors la loi à cause du systeme, de la corruption. Le fond est intéressant (triste sort pour les champions Indien) et l'acteur est habité par son rôle (l'excellent Irrfan Khan- Life of Pi et In Treatement S3). Par contre la forme est à chier. Les scène de combats ressemble à du mauvais S. Peckinpah, monté avec les pieds (des fondus dans tous les sens) et des cadres approximatifs. Au moins, il n'y a pas de passages dansés.

SPEEDKRITIK 796 "Helter Shelter" (2012) M. Ninagawa.

On enchaine avec Le Japon. Une mise en scène chiante, mal monté (du coup le film nous parait beaucoup trop long pour 2 petites heures). Mais l'actrice est superbe et envoutante (elle sauve le film de la bouse). La connerie du phénomène de monde, de la consommation jetable sont bien vue.
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SPEEDKRITIK 795 "Headshot" (2011) Pen-Ek Ratanaruang & T. Tjahanto

On continue notre parcours en Asie avec une bombinette Thaïlandaise. Ou comment avec une idée simple, proposer une mise en scène originale (et vraiment nouvelle). Après avoir pris une balle dans la tête notre héros perçoit le monde à l'envers (dans le vrai sens du terme)... Et ça change tout pour les scènes d'actions qui deviennent perturbantes. On s'identifie complètement au personnage, on est embarqué dans son enfer. C'est simple (le jeu des acteurs est parfois étrange, mais ils parlent tous com ça les Thaï) mais efficace, une vraie découverte.
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SPEEDKRITIK 794 "Troubleshooter" (2010) Hyeok-jae Kwon.

On continue avec du trés bon (vous l'aurez deviné... Coréen et 1er film). Le scénario est un peu tiré par les cheveux, mais le mélange comédie/film d'action marche parfaitement (Kyung-gu Sol est au top de sa forme). Des seconds rôles excellents et un vrai bad guy insuportable. On retiendra des scénes de combats incroyables de véracité (mais comment ils font????) et du lourd en montage. Ils sont trop forts....
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SPEEDKRITIK 793 "Hindsight" (2011) Hyun-seung Lee

On continue notre cycle Coréen avec ce film sans surprises (pour ceux qui connaissent le polar made in Asia) si ce n'est le côté positif rare dans ce genre. Avec un Kang-ho Song toujours aussi excellent ("The host" 2006, "Memories of Murder" 2003, "Sympathy for Mr Vengeance" 2002...) qui porte le film à lui tout seul. Mais cela reste du tres bon niveau par rapport à ce que l'on peut voir dans les autres pays.

SPEEDKRITIK 792 "A Company Man" (2012) Sang-yoon Lim.

Les Coréens me fatiguent, j'en peux plus des coups de boule. La forme et le fond restent classique mais la réalisation et les scènes d'actions sont superbes (gros montage). L'acteur principal est étonnant de justesse. Mais pourquoi ce pessimisme récurant chez les asiatiques? Encore un film à ne pas rater... Bon vais me prendre un Doliprane 1000.
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SPEEDKRITIK 791 "Traffickers" (2012) Hang-seon kim.

On continue notre série de grosse claque dans ta face avec encore un 1er film, made in Corée. Mais attention, pas facile le visionnage tellement le sujet est lourd et le jeux des acteurs intense (j'ai du faire une pause pour souffler). Dés la première scène, vous étes plongé dans une fuite en avant sans rédemption possible. Des retournements de situation qui vous chopent sans prévenir. Un film surprenant de maitrise qui laisse des traces. Mais d'où sortent tous ces acteurs?
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SPEEDKRITIK 790 "Confession of Murderer" (2012) Byeong-gil Jeong

Si vous voulez comprendre pourquoi le cinoche Coréen est le meilleur depuis plus de 10 ans. Faites acte de curiosité pour une fois et prenez vous cette méga bombe en pleine face. Une mise en scéne incroyable portée par un jeu d'acteurs qui vous met à genoux (un des mes chouchous, Jae-yeong Jeong est juste... y'a pas de mots), et un scénario qui vous met une claque à chaque revirement de situations. Du trés lourd en montage (ai maté 3 fois la scéne de poursuite-8 mn de folie pure), c'est parfois trop ( la baston sur la voie rapide) mais c'est toujours du plaisir...Et ce n'est que son premier film.

SPEEDKRITIK 789 "Le Hobbit: un voyage inattendu. (2012). P Jackson

Roooon....ZZZZZ, oh un hobbit. Roooon....ZZZZZ, oh un nain. Roooon....ZZZZZ, oh un elfe. Roooon....ZZZZZ, oh un oark. Parc ontre si je pouvais choper le mec qui a mis à donf sa musique de merde pendant tout le film... Au moins elle a le mérite de vous empëcher de pioncer.

SPEEDKRITIK 788 "Insensible" (2012) J. Carlos Medina.

Le cinoche espagnol est toujours dans la place. La preuve avec ce 1er film, d'une maitrise étonnante (photo, narration, cadres, montage). Une idée originale qui vous colle au siège dés la scène d'intro pour évolué vers une histoire inatendue. Une perle à découvrir d'urgence. Putain de scéne d'intro...