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jeudi 2 février 2012

SPEEDKRITIK TV 5 "Breaking Bad" (2012) S4-13 Ep.



LA SERIE. Tout est parfait, la narration, le rythme, les acteurs, le montage. Au fil des saison l'humour entre le duo et les situations fait place à de la tension et du drame, mais comment pourrait-il en être autrement vu l'évolution logique de chaque personnage. Les prologues sont toujours bien vu, ey nous mettent l'eau à la bouche avant chaque épisode. Cette saison se concentre sur le mystérieux personnage "Gus" joué par le flippant G. Esposito  (superbe ép. 10 "Salud") avec un dernier épisode juste incroyable (qui aurait pu être la fin logique de la série). En attendant l'ultime Saison 5, ils vont me manquer les gars.




mercredi 1 février 2012

SPEEDDKRITIK 635 "The Goods Live Hard Sell Hard" (2009) N. Brennan



Une comédie bouffonne avec des acteurs déjantés avec le toujours excellent J. Piven. Un peu trop encrée dans la culture américaine pour que je comprenne toutes les subtilités (s'il y'en a). The american dream version VRP et une B.A qui a bien fait son boulot d'accroche.







mardi 31 janvier 2012

SPEEDKRITIK 634 "Shelter aka 6 souls" (2010) M. Marlind & B. Stein



Une histoire de personnage à multiples personnalités bien filmée et bien cadrée (on sent la patte de l'école suédoise). Dommage que toute l'histoire tienne sur des bondieuseries à vomir qui en plus nous fait la morale sur l'importance de croire. J. Rhys Meyers en caméleon humain est impressionnant. Superbe dans la forme, grosse merde dans le fond.



lundi 30 janvier 2012

SPEEDKRITIK 632 "Smiley Face" (2007) Gregg Araki



Une comédie sympathique qui tient sur les épaules de l'excellente A. farris (sous estimée) et qui bouffe tous les autres acteurs. Donc quand on fume des cônes et mange des space cakes, on fait n'importe quoi, il ne faut pas voir plus loin. Heureusement que le film est court, car le réalisateur tourne en rond et ne sait pas comment finir son film (le dénouement onirique sur la grande roue gache tout). Parfois on s'ennuie mais on tient grace aux délires de l'actrice. Pour les fumeurs de oinjs et les autres.



SPEEDKRITIK 631 "In Time" (2011) A. Niccol.



Une idée forte, soutenue par une direction artistique et une lumière superbes. On ne pouvait en attendre moins du réalisateur qui nous a donnée "Bienvenue à Gattaca" (1997) et "Lord of the War" (2005). Une première heure intense qui malheureusement se transforme en "Bonnie & Clyde " du Chronoposte et avec une scène ridicule de duel à la "Over the Top " Vs Fedex. Dommage, on ne peut pas gagner à tous les coups, surtout que les acteurs s'en sortent pas trop mal (J. Timberlake en tête). Cela vaut tout de même le coup que l'on s'y arrête.



SPEEDKRITIK TV 4 "Homeland" (2012) S1-12 Ep



La série qui déchire tout sur son passage. Tous les acteurs sont justes et le casting parfait. Mention spéciale à C. Danes dont l'intensité du jeu est incroyable et touchante. Avec un niveau de lecture et une justesse des propos surprenants pour une série U.S. (qui n'a pas peur de balancer sur son propre pays). Une saison qui qui alterne des moments fort à la "Breaking Bad" et intimiste à la "Six Feet Under". La saison va être terrible.



dimanche 29 janvier 2012

SPEEDKRITIK 630 "Feast" (2005) J. Gulager


Voici une pépite qui justifie cette recherche qui le plus souvent accouche de daubes. Un huis-clos sans une thune qui mélange horreur et humour noir avec des scènes bien gores. Les acteurs sont tous à donf (aucune stars) et sont présentés de façon originale (mention spéciale à Judah Friedlander "the beer guy"). Le réalisateur a tout compris des codes du film de monstres (contrairement aux réalisateurs français) pour mieux les détourner. Entre "Evil Dead" (1981) de S. Raimi (en plus pro) et "Une nuit en Enfer" (1996) de R. Rodriguez (en moins fumiste). Cela donne envie de ce taper la trilogie.