Enfin du lourd pour la rentrée avec le dernier film du réalisateur japonais qui tourne plus vite que son ombre (une moyenne de 3 films par an). Surprenant de classicisme (de longs plans fixes avec des dialogues, en référence aux films chambara des années 60 et 70) mais avec cette touche unique complètement barré du Réalisateur (la scène de la jeune fille muette). Et une deuxième partie carrement folle... Dans les deux cas A. Kurosawa n'est pas loin. Cela fait plaisir de voir que Mr Miike est en pleine forme.
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