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vendredi 13 janvier 2012

SPEEDKRITIKS DisK 1 "SHAKAPONK: The Geeks and the Jerkin' Socks" (2011)


Voici typiquement le genre de groupe qui aurait pu défoncer tout sur son passage. Après un premier album sorti incognito "Loco con da frenchy Talkin"qui faisait table rase sur un rock français mou du genou enterrant du coup tout ce qui se faisait sur le territoire (Pleymo en tête). Un deuxième album  "Bad Porn  Movie Trax" moins rentre dedans mais encore de bon niveau. Voici le troisième "The Geek and the Jerkin' Socks" qui sent le sapin, qui ayant fait le choix de toucher un plus large public a perdu completement son âme (à noter qu'il ne reste plus que le chanteur et le guitariste d'origine), voir ses Corones.  Avec des mélodies à deux balles que vos enfants de 5 ans peuvent écouter et vont adorer, pour les fans de "Noir Désir", on fait un bon coup de Com en faisant un duo avec B. Canta, une belle chanteuse black pour lisser le tout. Un gros gachis, me demande si pour le quatrième album on aura un morceau avec Casimir (histoire de récupérer les consommateurs des 80').  On ne va pas se faire du mal avec un extrait du dernier album. Donc, en exclu une vidéo "Sonic" jamais sortie extrait du premier album.
http://speedkritiks.blogspot.fr/search/label/-Disk 



4 commentaires:

  1. Bon ba pour une first kritik de skeud tu n'y vas pas de main morte ! A la première c'est ce que j'ai ressenti et à part 2 titres l'album est franchement bon ! moins évident que les 2 précédents mais ça reste du SHAKA BORDEL !!!!!

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  2. j'ai vraiment essayé, mais je n'y arrive pas.

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  3. La première écoute ne fut pas évidente je le reconnais, mais a la fin il restait un ptit gout de "reviens y" pas désagréable. Alors oui, on s’éloigne du SHAKA teigneux et explosif que nous avons connus alors qu'on était 150 dans la salle a LA SEINE. Mais la demarche de faire un album "mainstream" pour ramener les foules en salle est judicieuse. Viser large pour rameuter les foules et leur coller une grosse tarte par paquets de salles de 5000 places, moi je marche. Car SHAKAPONk reste un pur groupe de scene, et la fougue, l'energie, le delire visuel y est toujours. Les concerts du Bataclan et de la Cigale furent des concentrés d’énergie defoulatoire, le concert du Zenith fut l'occaz de montrer l’étendue de leur notoriété et de leur puissance (et pour ma part une certaine joie de les voir grimper si haut).
    Ne te borne pas aux albums et retourne les voir sur scene mon ptit fred, ils meritent vraiment...

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  4. il est vrai que je ne parle pas de leur prestation scénique qui je pense est bonne. Je me suis concentré sur leur album qui est le but de cette chronique. Mais je suis un puriste sans concessions et l'impact du groupe aurait pu être aussi bonne voir meilleur sans vendre son âme au diablotin ( Cf Korn, NIN....)
    en tous les cas ravis de te revoir sur cette toile Mr Nicroco

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