Apres son "No Pain, No Gain" (2013) le réal tente une nouvelle fois de faire plus "sombre" en s'attaquant à un fait historique relatant un Alamo moderne en Lybie. L'idée était louable, mais elle est gachéé par une narration explosé (sans jeu de mots): on ne comprend pas l'espace et le temps, les soldats testostéronés ont tous le même look (donc on ne comprend pas qui est qui et qui fait quoi), un montage surdécoupé avec du gros son... Du coup on finit par décrocher et s'en foutre complètement. Autant remater "La chute du Faucon Noir" (2001) de R. Scott, un model du genre.
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