Pages

vendredi 7 août 2020

SPEEDKRITIK 1716 "Under the Silver Lake" (2018) D. Robert Mitchell



Un film qui se la joue "intello" et qui nous les brise au bout de 20 mn. A. Garfield et en roue libre et complètement à côté de la plaque. Des moment superbes (le monologue du producteur de musique est trés bon) mais rattachés à rien, donc un real qui se touche la nouille en se prenant pour le nouveau D. Lynch (y'a du "Mulholland drive", du "Blue velvet" et "Lost Highway"dans l'air).   Du coup on se demande si sa bombe  "It Follows" (2014_SK1200) est vraiment de lui. 2h20 de cinéma nombriliste.


2 commentaires:

  1. C'est probablement mon côté amateur de labyrinthe, j'ai vraiment beaucoup aimé ce film. Je ne savais jamais à quoi m'attendre et je n'étais pas déçu. Une lecture très personnelle du réalisateur de notre monde contemporain, avec un Andrew Garfield cracra qui sillonne une ville où tout se recoupe et se décrypte. Un gros truc foutraque bien réjouissant (pour ma part).

    RépondreSupprimer
  2. oui je peux comprendre que l'on rendre dans le délire du real...mais trop de nombrilisme pour moi :-)

    RépondreSupprimer