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mardi 12 avril 2011

SPEEDKRITIK 428 "Behind The Mask: The Rise of Leslie Vernon" (2006) S. Glosseman



Déjà 5 ans que cette perle est sortie et personne en a parlé (exept Mad Movies). Un mélange entre faux docu et film qui destrutures tous les codes des slasher movies, les analyses avec humour et intelligence (et du coup envoie "Scream"-1996 aux oubliettes) pour mieux les détournés. Tous les fans de F. Krugger, Jason et M. Meyers prendront leur pied, avec un R. Englund parfait en Dr "D. pleasence (ridiculisé par M. McDowell). Petit clin d'oeil avec la présence de la petite parapsychologue (qui joue toujours aussi mal) de Poltergeist (1982).



4 commentaires:

  1. Petite perle, effectivement. Qui joue à fond sur les codes du film d'horreur avec brio (on ne cesse de se souvenir de comment ça se passait dans tel ou tel film). L'ensemble du casting se tient. Les ados libidineux et adeptes du bang sont idiots à souhaits (ou devrais-je dire à point), ce qui alourdit un peu le cours de la narration. Non, non, ça marche du feu de Dieu quand même. On ne va pas boudé son plaisir. Et forcément quand ça bascule, on rit beaucoup. Rôôôô, puisque Leslie a tout prévu. Heureusement, il y a toujours le bidon d'essence antédiluvien et sa boîte d'allumettes sèches qui tombent à pic pour un feu de la Saint-Jean. En tous les cas, on attend La résurrection de Leslie "Mancuso" Vernon avec impatience. Dernier film de la regrettée Zelda Rubinstein : de Poltergeist de Hoper et d'Angoisse de Bigas Lunas.
    Ceci dit, ce film pose une question importante : que font les distributeurs?

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  2. exact, ils préfèrent bastonner avec les Scream qui n'ont pas le niveau de ce petit bijou.

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  3. Je serai un peu plus modéré sur les Scream. Le n°1 était vraiment très sympatoche (des acteurs nouveaux, un twist flippant, une réappropriation du phallus par la survivante (cf Leslie Vernon) - le parapluie de Sydney Prescot -, une réalisation bien maîtrisée). Le n°4 est pas mal - je dis ça, le jour où je ma lance dans la réalisation je n'en mènerai pas large). Certes le 2 et le 3 sont parfaitement oubliables, ce qui est déjà fait. Mais comme on dit : des goûts et des couleurs, on ne va pas tout de même pas se disputailler pour ça...

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  4. effectivement le 1er etait tres malin, puisqu'il renvoyait à toute une generation de fans de films d'horreur qu'il carressait dans le bon sens du poil. pas un grand film mais il flattait les spectateurs qui se sentent impliqués dans les ref.

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