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mardi 12 avril 2011

SPEEDKRITIK 432 "The Interceptor" K. Maximov



Du cinéma russe bien lourd qui tache. L'histoire est incompréhensible, c'est lourdingue avec des effets à 2 balles, très mal monté. Une bouse glacée qui veut se la jouer Night Watch (2004) et Day Watch (2006) de T. Bekmambetov, mais qui lui arrive pas à la cheville. Le top de la nazerie est le combat final du héro contre une synapse géante. A fuire.



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