Les 20 premières minutes sont bien foutues. Cela commence comme un remake de "Feast" (2005) de J. Gulager: Un bar perdu dans le désert attaqué par des créatures pas trés gentilles. Pour basculer dans de la bondieuserie puante sponsorisé par la NRA et les catholiques extrémistes U.S. avec la phrase de la fin balancée par l'ange face caméra: "Il faut croire en lui!" Ce réalisateur a un prob (on lui doit aussi "the priest en 2011)... bon vais vomir.
Au début les créatures sont bien stylé et flippantes et à la fin je me suis dit: "Dieu merci, je suis athé!"
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