Pages

lundi 1 novembre 2010

SPEEDKRITIK 156 "Inglourious basterds" (2009) Q. Tarantino




On savait que Q.T était un voleur, mais il le faisait avec talent (au moins jusqu'à "Jackie Brown" après je préfère rien dire) mais là c'est une vrai purge. Aucun rythme, que du blabla snob, production designe horrible (les studios sans figurants pour Paname, la campagne qui ressemble à du "Martin guerre" en moins bien), une bande son à côté de la plaque (un morceau de "l'emprise" dans le café parisien ???). Le projectionniste, la parisienne, le "héros allemand et B. Pitt jouent commes des pieds. Et cette fin dans le cinéma qui renvoit direct au massacre d'Oradour/Glane, pourquoi pas les avoir tous massacrés dans une chambre à gaz (honteux). Seule surprise, C. Waltz (le nazi) est énorme. Autant ce mater un vrai film avec "les douzes salopards" (1967) de R. Aldrich.



1 commentaire:

  1. Avec Tarantino, c'est comme a la Samaritaine, il s'y passe toujours quelque chose. La promo (raté comme souvent) du film a insisté sur Brad Pitt et ses exterminateurs de nazis, alors que le seul et reel interet du film, c'est Christophe Waltz. chacunes des scenes où il apparait peuvent paraitre longues, bancales dans la narration mais avec du recul assez savoureuses. Je suis d'accord que le reste est assez plat. On notera la monumentale connerie du personnage de Brad Pitt, et une fois n'est pas coutume, que les plus cons, revenchards et barbares ne sont pas les nazis (bien au contraire).

    RépondreSupprimer