Un faux western, un faux polar, mais un vrai mauvais film avec des fondus enchainés toutes les deux minutes, un étalonnage orange tout pourri et un scénario à 2 balles. Un B. Willis sous anti-dépresseur et un C. Walken qui fait le minimum syndical. Des pistolets qui tirent 600 balles sans besoin de recharger. Un mauvais hommage à S. Peckimpah. Matez plutôt "Les Guerrires de la Nuit" (1979), "Sans Retour" (1981).
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