Ben suis embêté, 50 % énorme, 50 % niais. Les Combats et les gunfights sont époustouflants mais le développement des personnages lourdingue et des situations dignent des pires J. Woo. C'est monté à outrance (T. Scott est un manchot à côté) avec des mélanges de lieux et de temps et des surimpressions de textes dans tous les sens. Mais quel plaisir de retrouver M. Biehn en pleine forme ("Terminator" 1984).
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