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lundi 25 octobre 2010

SPEEDKRITIK 56 "Benjamin Button" (2008) D. Fincher








Ils sont jeunes, ils s'aiment. Ils sont beaux, ils s'aiment. Ils sont vieux, ils s'aiment. ON S'EN FOUT. La dernière heure est la plus intéressante, mais qu'est ce que c'est triste. Meilleur moment,  l'accident de la danseuse, qui aurait pu être un court métrage (syndrome "magnolia". Et si...). La nouvelle tient sur 10 pages, au moins c'est moins long. Mais bon, Fincher reste un putain de réalisateur.




2 commentaires:

  1. Je l'ai trouvé trop court. 2h35 ne m'ont pas suffit. Oui, je l'avoue. Je l'ai même revu en DVD. Fincher sait tenir une caméra, sait penser son cadre, sait tenir ses acteurs. Bref, Fincher quoi... (et, quand je dis ça, je ne parle pas bien sûr ni de Panic Room et de The Game (quand même moins pire que le précédent).

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  2. je n'y arrive pas, je ne remet pas en cause la forme, car pour moi Fincher est l'un des meilleur, mais l'histoire met passé complètement au-dessus.

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